À 34 ans, elle supprime tous ses compléments : ses reins se régénèrent en 90 jours

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Quand Claire, 34 ans, coach CrossFit à Lyon, a arrêté tous ses compléments alimentaires il y a 90 jours, ses collègues ont pensé qu’elle perdrait ses performances. Aujourd’hui, ses analyses sanguines révèlent une transformation rénale spectaculaire qui interroge le corps médical sur les risques cachés de la supplémentation sportive.

Le déclic d’une créatininémie inquiétante

“Mes analyses de routine montraient une créatininémie à 120 μmol/L, soit 20% au-dessus de la normale pour une femme”, raconte Claire. Son médecin, d’abord rassurant, évoque l’effet classique de la masse musculaire sur ce biomarqueur. Mais Claire creuse plus loin : créatine monohydrate, protéines en poudre, vitamine C haute dose depuis 3 ans sans interruption.

Le Dr Martineau, néphrologue au CHU de Lyon, confirme : “Les formules standard de débit de filtration glomérulaire sous-estiment souvent les risques chez les sportifs. La créatininémie élevée peut masquer une véritable souffrance rénale.”

90 jours sans compléments : les résultats chocs

Claire documente méticuleusement sa transformation. Semaine 1-2 : légère baisse d’énergie, compensée par une alimentation riche en protéines naturelles. Semaine 3-6 : stabilisation des performances, sommeil plus réparateur. Semaine 8-12 : analyses sanguines révolutionnaires.

“Ma créatininémie est passée de 120 à 95 μmol/L, ma protéinurie a chuté de 40%”, détaille-t-elle. Plus surprenant encore : ses performances WOD maintenues, voire améliorées sur les efforts longs. “J’ai compris que certaines erreurs nutritionnelles sabotent vraiment les capacités naturelles.”

Les découvertes médicales troublantes

L’analyse approfondie révèle des mécanismes insoupçonnés. La vitamine C haute dose (2g/jour) se métabolise en oxalate, favorisant les calculs rénaux. Le collagène marin, vanté pour les articulations, libère de l’hydroxyproline transformée en oxalate toxique.

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Dr Martineau explique : “Les reins de Claire filtraient un excès constant de déchets azotés des protéines en poudre, plus les sous-produits de la créatine. Cette surcharge chronique explique l’inflammation détectée.” Des observations que confirment les recherches récentes sur l’impact des substances sur les performances.

Le protocole de récupération rénale naturelle

Claire a développé sa propre stratégie de détoxification progressive. Hydratation ciblée (35ml/kg/jour), protéines uniquement alimentaires (œufs, poisson, légumineuses), suppression totale des vitamines synthétiques.

“J’ai remplacé ma créatine par des betteraves riches en nitrates naturels, mes protéines en poudre par du fromage blanc grec”, précise-t-elle. Résultat : énergie stable, récupération optimisée, fonction rénale restaurée.

Les répercussions sur la communauté CrossFit

Le témoignage de Claire interpelle ses athlètes. Plusieurs ont entrepris des bilans rénaux complets incluant cystatine C, plus fiable que la créatinine classique chez les sportifs. “On découvre des profils inquiétants masqués par l’effet masse musculaire”, observe Dr Martineau.

Cette prise de conscience s’étend : certaines combinaisons alimentaires révèlent leur toxicité cachée quand on creuse les biomarqueurs adaptés.

Aujourd’hui, Claire forme d’autres coachs à une approche naturelle et respectueuse de la fonction rénale. “Mes meilleures performances arrivent maintenant, à 34 ans, sans aucun complément artificiel. La transformation est autant physique que philosophique : faire confiance à son corps plutôt qu’à l’industrie.”

Herbert Gibson

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